Extrait du tome 2 de mon ouvrage

Oui, j'ai donc posté juste un peu plus bas un extrait du tome 2, puisqu'il est définitivement terminé et sera très bientôt disponible. Mon instruction est toujours en cours et traîne en longueur... et le procès du chauffeur et de son employeur n'a pas encore eu lieu. Donc, j'ai eu encore de quoi écrire, et je n'ai pas perdu mon talent. J'ai donc choisi des passages percutants, tout en gardant les plus costauds pour plus tard, si un jour vous veniez à me lire. C'est encore là évident, c'est ma responsabilité de n'être pas invisible... Lisez-moi et faites passer le lien de mon blog, Johanna le mérite tout autant que moi, sinon plus. Je suis son porte-parole. J'espère que mes articles de mon blog vous donneront peut-être un jour l'envie et le courage de me lire. En ce dimanche 14 septembre 2025, eh bien, je suis plus que malheureuse, 6 ans et 8 mois, et nous sommes encore dans l’instruction… Et toujours pas de date de procès et un silence qui me tue à petit feu. Je me répète, je veux que justice soit rendue à Johanna, jamais je n’abandonnerai, c’est uniquement la mort qui viendra compromettre mes ambitions. Il est fort possible qu'un tome 3 voie le jour, malheureusement, car j'ai encore de quoi écrire et je ne m'arrêterai pas tant que j'aurai à écrire des choses. Je resterai fidèle à ma mission : passeuse de messages.

Oui, je me permets de partager avec vous, eh bien un petit bout d'un  chapitre écrits du tome 2 de DFEDA. Je ne peux pas déposer sa totalité, sinon cela n'aura plus de sens si vous lisez tout maintenant. Mais croyez-moi, vous allez en apprendre des tas de choses, sur le chauffeur du bus C3, Keolis, la ville et la Métropole de Lyon... Eux ne peuvent pas parler, moi, je le peux. C'est ma responsabilité de le faire. J'y tiens dur comme fer. Les retours que j'ai eu jusqu'à maintenant ont été déterminants pour la suite ; oui, j'ai continué d'écrire. L'écriture est ma seule amie... Vous pouvez vous procurer le tome 1 ICI.

Extrait du chapitre Octobre 2024, la sortie de ma 2ème édition de mon livre

Oui, ce mois-ci, c’est la sortie et l’impression de mon ouvrage pour un plus large public avec la deuxième édition de mon premier tome. Sur mon blog, comme à mon habitude, j’ai bien fait les choses en publiant de bons articles. Malheureusement, après la publication de l’article de Sophie Majou le 30 septembre 2024, j’ai seulement obtenu une vente grâce à mon passage dans ce grand journal. Les autres sont des connaissances de ma survie et, bien sûr, comme toujours, de Sylviane, de Jean-Marc et Marie-Danielle qui me soutiennent et qui me sont restés fidèles. Trente livres… ce n’est pas beaucoup, mais, bon, ceux qui vont me lire le feront avec leur cœur, j’en suis certaine. Parmi ces personnes, certaines ne m’ont jamais lue. C’est donc une petite victoire, puisqu’un livre est fait pour être lu, et c’était aussi l’un de mes souhaits. Maintenant, je me consacre pleinement à l’écriture de ce deuxième tome. Je dois encore m’atteler à de nombreuses tâches, notamment à la relecture, à la première correction, à la mise en forme et à l’écriture. En ce mardi 8 octobre, mon virement est parti ce midi pour faire valider ma commande auprès de mon imprimeur. Par conséquent, dans quelques semaines, je serai en mesure de distribuer ou de remettre en personne mon livre à ceux qui l’ont commandé. Je suis satisfaite du résultat, car j’ai apporté de nombreuses mises à jour, notamment des explications claires et détaillées. J’ai, en ce mois d’octobre, reçu un mail d’une personne de ma vie d’avant qui réside hors de Lyon, avec qui j’ai repris contact grâce au blog d’une autre personne que nous connaissons tous les deux. Elles ont donc appris la nouvelle toutes les deux, qu’elles ne savaient pas. L’une des deux connaissait ma fille Johanna. Elle m’a écrit une phrase qui m’a « réconfortée », oui, elle a écrit que le chauffeur de bus est un criminel. Et que c’était aberrant qu’à Lyon, on ne se sente pas en sécurité en pleine journée… Je me sens du coup moins seule par ces phrases, car pour beaucoup, je me répète encore et encore, les accidents de la route n’arrivent qu’aux autres. Me voilà un tout petit peu soulagée de l’opinion de certaines personnes – même si je sais que, bien tristement, pour la bonne majorité, elles ne pensent pas comme moi. Encore en 2024, je lis ou entends des abominations par rapport à mon combat et à Johanna qui était, je me répète, là aussi, encore une fois, sur une rue piétonne… sur une rue piétonne… Quelque part, toutes ces personnes donnent la possibilité que cela se reproduise, puisque malheureusement le « je m’en foutisme » est le mal du siècle.

Sandrine Barthélémy

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