Ma liberté d'expression est une force, je ne lâche pas l'écriture !!!

Ma liberté d'expression est ce qu'il me reste, de cela, je m'en servirai jusqu'au bout. J'excelle de ce côté-là... Toi qui lis ce post, comme tu as pu le constater si tu lis mes articles de mon blog, que je n'ai pas lâché l'écriture, j'écris fur et à mesure des choses qui se passent ou qui ne se passent pas dans mes intructions judiciaires contre le chauffeur de bus C3 et son employeur Keolis... Il y a matière à écrire... Ma liberté d'expression est ce qu'il me reste, de cela, je m'en servirai jusqu'au bout. Ce petit bout de ce chapitre qui se trouve dans le deuxième tome de mon livre ; où je parle de ce délai que la justice me donne comme épreuve supplémentaire. Et petite mise à jour de ce pt avant texte écrit il y a 1 an déjà... eh bien au lundi 24 juin 2024, je suis toujours dans cette fameuse attente et rien ne vient, oui, tu as bien lu toi qui me lis... Mon instruction va sur les 6 ans... c'est inacceptable, où est la justice ?

Oui, la justice des hommes...

Le silence et l’attente

Au 22 mars 2023, c’est toujours l’attente, oui l’attente qui me détruit, me consume, m’exaspère… Pourquoi c’est si long ? On arrive aux 5 ans de la mort de ma fille Johanna et de l'accident dans dix mois… que l’on ne me dise pas que l’on ne se fout pas de ma tête et celle de mes avocats également. La moitié de dix ans c’est fragrant, il faudrait être plus qu’idiot pour ne pas le comprendre ; je ne dis pas ceci pour mes deux avocats, eux sont toujours là à mes côtés pour faire « la guerre » à toutes les injustices que l’on me fait subir depuis le début. Être aux côtés des victimes n’est pas un mince boulot, il y en a malheureusement beaucoup, des mal menées comme moi… La justice que nous avons de nos jours n’est pas une justice, c’est une minable comédienne, qui ne sait faire que du spectacle et rien d’autre. Oui, j’y vais un peu fort, mais je sais que beaucoup pensent comme moi, je parle donc pour eux encore une fois. Il suffit de lire Le Progrès ou de regarder sur Internet pour se rendre à l’évidence dans ce pays ; il n’y a plus de justice. Écoutez la TV, la radio, lisez les journaux... plus rien n'est grave.

Dommage que je n'aie pas un minimum de notoriété pour espérer être entendu et faire évoluer les choses. Ce que je n'ai pas bien malheureusement.

On ne m'entend pas, et on ne me voit encore moins... Je suis invisible, comme beaucoup de parents désenfantés.

 

« La bienveillance est un sentiment tellement propre au cœur humain que celui qui cesse de l'éprouver doit être considéré comme un être malade ou défectueux. »

jean-louis-alibert

 

Sandrine Barthélémy

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Photo personnelle de Sandrine Barthélémy ©
Commentaires: 3
  • #3

    Sandy (mardi, 25 juin 2024 06:00)

    Merci Gabrielle pour votre commentaire, cela fait du bien de se savoir pas seule, même si dans ma survie de tout les jours c'est le cas...
    Ne vous inquietez pas je fais tout pour rester en "santé" pour qu'ils ne gagnent pas, merde ma fille Johanna est au cimetière; oui et vous ne savez pas tout ma chère gabrielle, quand vous aurez lu mon ouvrage, vous allez être sidérè de certains passages. Accrochez-vous!
    En ce jour triste, je poste une citation de GM. RIP mon Yog!❤️
    " Je ne pense pas qu'on perd l'amour quand quelqu'un meurt.
    Si vous avez aimé, alors l'amour que vous avez laissé ne disparaître jamais.
    Il est avec toi pour toujours " George Michael

  • #2

    Gabrielle (lundi, 24 juin 2024 15:53)

    Bonjour Sandrine,
    Oui, ce n'est plus une justice là. Oh! que si vous avez assez de notoriété et un jour vous serez entendu, ne lâchez pas ! Ne faut pas qu'ils gagnent ces gens qui n'ont aucun respect pour vous et votre défunte fille. Battez vous Sandrine!

  • #1

    Sandy (jeudi, 18 mai 2023 07:31)

    Je poste ce bout de phrase trouvé sur le Net, c'est un parent d'un enfant décédé du drame de Millas qui l'a écrit; et personnellment je me retrouve dans ce qu'il a écrit.
    "On est tombé dans un trou noir et on s'y est perdu. Aujourd'hui, on n'avance pas, notre vie s'est arrêtée. On a le cerveau vide et on ne supporte plus rien", confie SM. Même les amitiés s'étiolent, abîmées par un "décalage" qui grandit."
    Oui, tout s'étiole comme il dit si bien... on est dans un autre monde nous les parents désenfantés.